Pour le coup, du côté des Ornais, fin avril voulait dire début avril : les archives en lignes ont rouvert un peu plutôt que re-prévu, le 9 avril. Mais il est vrai que les dix premiers jours, il y avait peu d’espoir de voir la couleur de l’encre des registres si l’on se ne connectait pas dans la matinée. Par contre j’ai pu avoir accès à toutes les pages d’erreur possibles.

Or, ce weekend, en pleine journée, même pas aux heures des repas dominicaux, j’ai pu me connecter sans souci et consulter les archives pendant une bonne partie du dimanche après-midi. Et depuis, j’ai l’impression que ça dure : le site est accessible en permanence et est même plutôt rapide, n’en déplaise aux grognons !

La bande-passante a-t-elle été augmentée tout récemment ? ou bien, idée de mon cerveau en ébullition : vendredi 18 (juste avant ce merveilleux weekend de fluidité ornesque), les archives de la Maine-et-Loire ont ouvert… Le « surflux » ornais s’est donc peut-être tout simplement déversé sur la bande passante méniligérienne !