Je parlais dernièrement du mariage en 1828 à Paris de François Henry CHAMBRON, chapelier rue Saint-Denis, avec Gabrielle DESGROUX, mes sosa #122 et #123 (voir l’arbre descendant). J’ai quelques idées sur la façon dont les époux ont pu se rencontrer ou être mis en relation.
Je me dis souvent qu’il ne sert à rien de faire ce genre de suppositions puisque quelques documents d’archives ne donnent qu’une infime partie du contexte de vie des ancêtres. J’ai finalement trouvé l’exercice intéressant, au moins pour penser avec les paramètres de l’époque : seule certitude, mes ancêtres ne se sont pas rencontrés sur Meetic.
